Vendée, 1793. Tout un peuple se soulève contre une République qui cherche à écraser le Roy, la Foi, et l’Eglise. Ils
s’appellent François Athanase Charrette de la Contrie, Henri de la Rochejacquelin, Maurice d’Elbée ou Jacques Cathelineau. Ils ont entre 20 et 35 ans et vont guider ce peuple de gueux au martyre,
dans les bocages et les marais vendéens.
Les Essarts le Roy, 220 ans plus tard. Le Puma, Le Lynx, le Guépard et le Renard marchent sur les traces de ces héros,
paysans ou chasseurs, qui quittent père, mère, femme et enfants pour les horreurs d’une guerre terrible.
Après avoir formé la Grande Armée Catholique et Royale, et rejoint leurs chefs, cachés dans les bois, ils dressèrent leur
campement et prirent les forces nécessaires pour mener à bien leur mission sacrée. Après la veillée, à la lueur des torches, ils assistèrent à la belle cérémonie d’investiture de leurs CPs.
La prière du chapelet s’envola ensuite dans la nuit, et les scouts purent se coucher.
Le lendemain, après avoir pris Cholet, le « Saint de l’Anjou » Cathelineau tombe sous les balles bleues. La Grande
Armée Catholique élit alors comme généralissime Henri de la Rochejacquelin, il a 21 ans. Celui-ci après un entrainement intensif et stratégique de ses troupes, les mène à Nantes, ou l’échec
est cuisant. Le peuple vendéen décide alors d’aller chercher l’aide des Anglais. Campement plié en un temps record, les Armées d’Anjou et Poitou apprennent par un message que l’Allié n’arrivera
pas. Cachés, ils décident alors de tout faire pour sauver un prêtre réfractaire qu’ils ont identifié grâce à de précieux indices glanés ci et là. Suivant en toute discrétion des hommes informés,
ils arrivent finalement à l’Eglise ou se cache le saint homme.
Après la Messe, ils purent rentrer dans leurs familles, avec ce bel héritage au fond du cœur.
« Ils veulent détruire les coutumes, les traditions, l’ordre. Il
est vieux comme le diable leur monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu.»
Charrette.